Cited in newspaper

  • فيروس تنفسي ينتشر بسبب تبعات الجائحة وهكذا تتم الوقاية
    Le quotidien Al nassar le 19 Novomber 2022
    Interview réalisée par Yasmine Bouldjedri



  • من سارس إلى اوميكرون . كيف تنشأ الطفرات
    مجلة شهاب العلمية العدد الخامس (الصفحه31-32) - مارس 2022


  • الباحث في المعلوماتية الحيوية والجينوم الدكتور محمد بلحسين للنصر: التطعيم مفيد مع السلالة الجديدة لكورونا
    Le quotidien Al nassar le 1 Mars 2020
    Interview réalisée par Yasmine Bouldjedri

    قد يبدو الفيروس المتحور، بالنسبة لنا أمراً مخيفاً، لكن التحور والتغير هو ما تفعله الفيروسات وفي أغلب الأوقات، يكون الأمر إما تغييراً لا معنى له أو أن الفيروس يُعدل نفسه بطريقة تجعله أضعف في إصابة البشر بالعدوى، وتختفي النسخة الجديدة. ولكن قد يصل أحيانا إلى تكوين تركيبة جديدة ناجحة ومعدية أكثر. السلالة الجديدة البريطانية هي عباره عن تراكمات لطفرات مختلفة أبرزها طفرتين موجودتان في بروتين النتوءات الشوكية: الطفرة الأولى N501 هي عبارة عن تغيير بسيط في البروتين النتوءات والمعروف باسم "مجال ربط المستقبلات". اما الطفرة الأخرى H69/V70 فقد ظهرت عدة مرات من قبل، ومن بينها لدى حيوانات المنك التي أصيبت بالفيروس. الطفرتان تتمركزان في المنطقة التي يتلامس فيه النتوء مع سطح خلايا وأي تغييرات تُسهل دخول الفيروس من المرجح أن تمنحه ميزة إضافية.



  • A 37 ans, il dirige une équipe de chercheurs !
    L'actuel magazine le 23 Novembre 2020
    Interview réalisée par F. A.

    Il se battait pour réussir à tenir. Il ne voulait pas être dépendant de ses parents dont la situation économique ne leur permettait pas de subvenir à ses besoins. Lui c’est Mohamed Belhocine. A 37 ans, il dirige déjà une équipe de chercheurs dans la bioinformatique, dans un prestigieux laboratoire de recherche à Dubaï.



  • الباحث في المعلوماتية الحيوية والجينوم الدكتور محمد بلحسين للنصر: ما نزال نعيش الموجة الأولى للجائحة و هذه آلية عمل لقاح فايزر
    Le quotidien Al nassar le 22 Novembre 2020
    Interview réalisée par Yasmine Bouldjedri

    يوضح الدكتور محمد بلحسين المختص في علم الأحياء الدقيقة و البيولوجيا النووية وعلم الجينوم، أن تغيرات وطفرات طرأت على فيروس كورونا المستجد و زادت من سرعة و قوة العدوى، لكنها لم تؤثر على شدة المرض، كما يرى أن العالم ما يزال يعيش الموجة الأولى من الوباء، ويضيف الباحث الجزائري الذي يرأس حاليا قسم المعلوماتية الحيوية وعلم الوراثة بمختبر الوراثة الجزيئية بدبي، أن تلقيح سكان العالم ضد كورونا لن يتم قبل 3 سنوات، ليتطرق إلى نقاط عدة في هذا الحوار الذي يجيب فيه على العديد من التساؤلات حول الفيروس التاجي كما يسرد تجربته مع البروفيسور الفرنسي المثير للجدل، ديدييه راوول.



  • MOHAMED BELHOCINE. Chercheur en bioinformatique et génomique «Le coronavirus a eu un nouveau souffle»
    Le quotidien Al Watan le 18 Novembre 2020
    Interview réalisée par Mohamed Benzerga

    Le coronavirus n’est pas près de disparaitre, ce que vient de confirmer l’OMS. Dans le cas actuel, avec un virus très contagieux, avec des cas asymptomatiques, des millions de personnes infectées, la capacité d’éradiquer complètement le virus est aujourd’hui quasi nulle. Déjà identifié comme seule porte de sortie à la crise depuis le départ, le développement d’un vaccin efficace prend une importance encore plus grande. Pour avoir un réel impact, le vaccin devra avoir un taux d’efficacité très élevé, ce qui n’est pas le cas pour le moment. C’est possible qu’on voie arriver une souche avec des nouvelles mutations où le vaccin ne sera pas aussi efficace, alors là on devra tout reprendre et ça créera des vagues de retour du virus. Il faut juste espérer que quand les gens l’auront attrapé une première fois, les symptômes soient plus légers la deuxième fois.



  • MOHAMED BELHOCINE - Chercheur algérien en bioinformatique à Dubaï «Je peux aider mon pays»
    Le quotidien Al Watan le 10 juin 2020
    Interview réalisée par Mohamed Benzerga

    A 37 ans, Mohamed Belhocine dirige une équipe de chercheurs dans la bioinformatique, dans un prestigieux labo de recherche àDubaï. A travers cette interview, il insiste sur l’importance de cette spécialité d’avenir, et de plus en plus demandée par les grands laboratoires dans les quatre coins du monde.
    La bioinformatique est un champ de recherche multidisciplinaire de la biotechnologie où on se sert de tous les champsscientifi ques pour répondre à des questions d’ordre biologique et médicale. La bioinformaticien est en même temps : biologiste, informaticien, physicien et statisticien. C’est une personne comme un couteau suisse, si j’ose dire. Cette spécialité est de plus en plus demandée dans le monde. Me concernant, je reçois presque chaque jour des propositions de job un peu partout dans le monde. Et je reçois des feed-back de la part de mes anciens étudiants que j’ai encadrés et qui travaillent dans de grandes fi rmes pharmaceutiques et instituts de recherche.



  • Boumerdès - A quand des formations en bio-informatique ?
    Le quotidien Al Watan le 13 November 2019
    Par Lakhdar Hachemane

    «L’Algérie accuse un grand retard dans cette récente discipline qu’est la bioinformatique », c’est ce qu’a constaté le Dr Belhocine Mohamed, éminent chercheur algérien installé aux Emirats arabes unis à la tête d’une équipe au MBG Lab de Dubaï, lors de la Journée internationale de bio-informatique à l’université de Boumerdès. Il avait exercé dans plusieurs universités algériennes mais ses tentatives de mettre sur pied une formation en biotechnologie se sont avérées vaines. Premier conférencier à intervenir à la journée organisée conjointement par le département de biologie de la faculté des sciences et le laboratoire Valorisation et conservation des ressources biologiques Valcore en collaboration avec l’université Libre de Bruxelles, l’orateur a présenté un exposé sur l’analyse séquentielle du génome humain à travers la détection technologique. Simplement dit, il s’agit d’une étude des comportements des génomes humains ou animaux qui, grâce à la technologie, permet d’obtenir une base de données à partir des ADN de milliers de sujets, en quelques jours seulement, alors qu’elle demandait des dizaines d’années auparavant. ..... »



  • CHLEF - Le département de biologie voit grand.
    Le quotidien d'Oran le N°5261 ISSN 1111/2166 - le Mardi 2012
    Par Abbad Miloud

    «.... Concernant les objectifs de cette manifestation scientifique, nous avons interrogé M. Belhocine Mohamed chercheur à l’université de Marseille qui nous déclara : "D’une manière générale, en Algérie, il y a peu de connaissances en biologie moléculaire et notamment génomique et cela, par rapport à des problèmes d’infrastructures et de matériel dans les laboratoires de recherche algériens. Le volet a été délaissé par les responsables concernés. C’est dans un souci de relancer ce domaine, afin de rattraper l’énorme retard accusé ces dernières années par rapport aux laboratoires étrangers, que nous avons décidé d’organiser ce workshop pour présenter à la communauté scientifique (enseignants, doctorants et magistérants) les principes de base de ce vaste domaine aussi bien du côté théorique que pratique" ..... »